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Mon cher journal

L’août venait de s’achever quand je me suis rendu compte que je n’avais rien fichu de l’été ! Pas pondu la moindre ligne. Aucun mot qui vaille la peine d’être retenu. Pas une seule pensée cohérente. Septembre était là, et je me suis mis à gamberger : « Bon sang ! Et s’il m’arrive un sale truc ? Un machin qui m’empêche d’écrire ?