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Mon cher journal

Sans trahir ma banque de souvenirs lamentables, je me dois de reconnaître que j’ai fréquenté pas mal de brise-noix. Quelques meutes sauvages de zinzins. Des chiants et des chieurs. De fieffés emmerdeurs de tous âges et de tout poil, auxquels j’ajoute plusieurs légions d’importuns sans orgueil qui n’ont pas d’horaire, pas de jour, pas de lieu ni aucun interdit destiné à les empêcher de pourrir l’existence du clampin : votre serviteur !